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17 mai 2009 7 17 /05 /mai /2009 22:40















Il vous faut prendre conscience 
de ce que vous avez envie d'entendre
et qui n'est pas toujours  
ce que l'autre a envie de vous dire.
C. Bensaid








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Published by MAHE - dans CONTE HISTOIRE CITATION
17 mai 2009 7 17 /05 /mai /2009 22:03

 

Je serai le tendre et gentil
Le jardinier de ton coeur
Pour semer les graines du bonheur
Qui feront grandir tes envies

Je serai le tendre sans pareil
Le jardinier de ton coeur
Je peindrai comme une aquarelle
Ta vie de toutes les couleurs

Je saurais encore et toujours
Le bel ouvrage de ton coeur
Sans cesse remettre avec ardeur
Sur le métier de l’amour

Je serai le tendre et mignon
Le jardinier de ton coeur
Aux flammes les feuilles d’opinion
Grand feu de joie purificateur

Pour boiser l’orée de ton coeur
Je serai jardinier d’amour
Je semerai les graines du bonheur
Que je récolterai jour après jour.



 

11/02/2006.... une belle plume qui parle de graines.... 

 

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Published by Mahé - dans CONTE HISTOIRE CITATION
9 mai 2009 6 09 /05 /mai /2009 15:08




Un petit noir regarde un marchand de ballons dans la rue. Ses yeux
brillent. Il y a des ballons de toutes les couleurs, rouges, bleus,
blancs, noirs, jaunes...

Le vieux monsieur qui vend les ballons voit le garçon qui
hésite, puis prend son courage à deux mains et s'approche de lui.

"Dis Monsieur, est-ce que les ballons noirs volent aussi haut
que les autres ?"

Le vieux Monsieur a presque la larme à l'oeil. Il prend le garçon
dans les bras, l'installe sur un muret et lui dit :

"Regarde"

Il lâche tous ses ballons qui s'envolent en grappe et montent,
montent, montent dans le ciel jusqu'à disparaître tous tellement
ils sont hauts.

"Tu as vu ?"

"Oui"

"Est-ce que les ballons noirs sont montés aussi haut que les
autres ?"

"Oui Monsieur"

"Tu vois, mon garçon, les ballons, c'est comme les hommes.
L'important ce n'est pas leur couleur, ce n'est pas l'extérieur.
Non, l'important, c'est CE QU'IL Y A EN EUX. C'est ce qu'il y a
en toi qui fera toute la différence dans ta vie."

remerciement à l'auteur
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Published by MAHE - dans CONTE HISTOIRE CITATION
8 mai 2009 5 08 /05 /mai /2009 15:29





Lorsqu'un seul homme rêve, ce n'est qu'un rêve. Mais si beaucoup d'hommes rêvent ensemble, c'est le début d'une réalité
F. Hundertwasser








à lire sans modération
http://terresacree.org




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Published by MAHE - dans CONTE HISTOIRE CITATION
23 avril 2009 4 23 /04 /avril /2009 05:27


Un groupe de grenouilles voyageait à travers les bois quand deux dentre elles tombèrent dans un trou très profond.

Quand les autres grenouilles virent jusqu
’à quel point le trou était profond, elles dirent aux deux grenouilles tombées dans le trou quelles allaient mourir tellement le trou était profond

 

Les deux grenouilles ignorèrent leurs amis et essayèrent malgré tout et de toutes leurs forces de sauter en dehors du trou. Les autres grenouilles continuèrent de leur dire darrêter puisque c’était inutile de tenter de sortir dun trou aussi profond.


Finalement
, après quelque temps, une des deux grenouilles tint compte de ce que les autres disaient et abandonna la lutte. Elle mourut effectivement. Lautre continua de sauter aussi fort quelle le pouvait. Toujours et encore, la foule de grenouilles hurlait darrêter de souffrir et suggérait de se laisser mourir. Elle sauta encore plus fort et finalement réussit à se sortir du trou

 

Quand elle y parvint, les grenouilles qui lobservaient lui demandèrent comment elle avait réussit. Elle nentendit pas leur question. Ils répétèrent jusqu’à ce quils comprennent que la grenouille survivante était sourde

 

Quelle fut leur surprise lorsque la grenouille survivante les remercia de leur

enthousiasme et de leur encouragement

 





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Published by Mahé - dans CONTE HISTOIRE CITATION
22 avril 2009 3 22 /04 /avril /2009 16:22









L’expérience est une lanterne que l’on porte sur le dos
et qui n’éclaire jamais que le chemin parcouru.


Confucius







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Published by MAHE - dans CONTE HISTOIRE CITATION
22 avril 2009 3 22 /04 /avril /2009 14:38


 

 

Il était une fois un brave garçon du nom de José, qui avait choisi comme défi de vie d'expérimenter le lâcher-prise. Il voulait relever ce défi coûte que coûte, même s'il devait y travailler durant toute son existence, ce qu'il fit d'ailleurs avec un acharnement exemplaire. Il avait presque tout lu et tout entendu sur ce vaste sujet de l'abandon à Dieu et sur la confiance totale à accorder à ses guides et à toutes les formes d'aides venues d'en haut. Il avait également suivi une multitude de cours traitant de ce thème afin de parvenir à son but ultime : se laisser couler dans le grand fleuve de la vie.

Mais, malgré tous ses efforts, le résultat tardait à venir, car toutes les connaissances que José avait acquises s'accrochaient désespérément à son mental. En effet, durant toutes ces années d'études intenses, José s'était rempli à satiété de théories magnifiques; mais il lui manquait encore un élément, un seul, pour que toute cette richesse accumulée grâce à son travail acharné se mette enfin à bouillonner en lui et qu'elle imprégné chacune de ces cellules.

L'élément feu était en lui depuis longtemps et il l'attisait par sa constante ferveur à se connaître un peu plus chaque jour. Quand à l’élément terre, c'était également pour lui une richesse déjà acquise, car il s'y gardait désormais profondément enraciné. Comme il arrive à plusieurs chercheurs de vérité en état temporaire de stagnation, il lui manquait un élément indispensable à l'action : l'eau; qui permet à la sagesse de circuler librement à travers les gestes du quotidien.

Les efforts qu'il mettait à vouloir s'abandonner à la vie en toute situation l'avaient fatigué. Aussi José lança-t-il un dernier cri de désespoir avant d'abandonner définitivement le combat. Sans le savoir, en agissant ainsi, il avait vraiment lâché prise pour une des rares fois de sa vie. Dieu entendit ce vibrant appel venant du coeur de l'un de ses enfants et, de son souffle magique, il transporta José au pied d'une chute dont Lui seul connaissait l'existence édénique. Cette merveille de la nature avait comme particularité de faire connaître à quiconque réussissait à s'en approcher un élément déclencheur ayant pour effet de changer sa vie.

José se retrouva donc au cœur de cet endroit paradisiaque. Connaissant la force de Dieu, il maîtrisa assez bien sa surprise. Ne cherchant surtout pas à comprendre ce qui se passait, il se contenta d'écouter la voix magique qui émanait de la cascade dans laquelle baignaient ses pieds.

"N'as-tu pas l'impression d'être souvent en équilibre au-dessus d'une telle chute, glissa en lui la voix de l'eau, et de craindre de tomber dans le vide? Depuis des années, tu te déclares prêt à l'action. Tu te demandes inlassablement d'être précipité dans le courant de la vie pour accomplir ta mission, mais tu résistes quand vient le temps de l'accomplissement, car au fond, tu as peur! Tu es comme cette branche là-haut, accrochée au gros rocher sur ta droite, tu vois?"

José vit effectivement un petit bout de bois suspendu tout en haut de la chute, qui semblait se retenir désespérément aux rochers pour ne pas être entraîné dans le vide.

"Cette branche que tu vois là-haut, reprit la voix intérieure, c'est toi qui t'agrippes continuellement à tes préjugés. Tu laisses ainsi le champs libre à ta peur de l'inconnu, et celle-ci te mène alors allègrement par le bout du nez. Lorsque ton cœur t'incite à faire un pas en avant en t'abandonnant totalement à la vie, ne luttes-tu pas avec toute la force de ton mental pour retarder le moment où tu devras passer à l'action?"

José se reconnut parfaitement dans cette description et sourit malgré lui. "Au nom de la prudence, continua la voix de l'eau, tu rames à contre-courant en feignant d'ignorer le réalité. Tu t'épuises à lutter contre l'inévitable jusqu'à ce que tu te retrouves complètement exténué et au bord du désespoir...ce que tu étais avant d'être transporté ici. C'est à ce moment que tu cesses d'exercer ton emprise sur ta vie et que tu es entraîné dans le courant de la chute. "Ton combat t'as tellement épuisé que tu n'as même plus la force de résister. Si tu avais pu lâcher prise plutôt, tu aurais tout de même suivi le même itinéraire mais, comme tu aurais été reposé, tu aurais manifesté plus de calme et de sérénité. Tu serais alors arrivé, frais et dispos, au bas de cette même chute, prêt à entreprendre une autre aventure ou à relever un autre défi." La voix se tut, et au même moment, la petite branche qui avait attiré l'attention de José était projeté dans le gouffre.

"Regarde maintenant à tes pieds", reprit l'inspiration magique. José baissa les yeux pour remarquer le morceau de bois qui tournoyait calmement dans une eau qui avait été purifiée par sa descente, avant d'être éventuellement entraînée plus loin, de cascade en cascade, vers un autre ruisseau en aval.

"Apres chaque épreuve, cher José, as-tu remarqué que la vie te réservait toujours un temps de repos? Durant cette période d'accalmie, tu as tout le loisir de refaire tes forces et tu peux en profiter pour tirer des leçons de l'expérience que tu viens de vivre.

"A l'image de la branchette qui, après sa dégringolade, s'est laissée bercer par les remous purificateurs, tu dois prendre le temps de te reposer, comme tu le fais maintenant. Ensuite, tu pourras laisser le courant de ta vie te propulser un peu plus loin, jusqu'à la prochaine chute que tu rencontres, tu pourras franchir les suivantes avec de plus en plus de facilité.

"Et un jour, sans que tu t'en aperçoives, tu iras de cascade en ruisseau et de ruisseau en fleuve, et tu arriveras à la mer, frais et dispos. Comme tu seras en pleine possession de tes moyens, tu pourras profiter pleinement des années d'abondance qui s'ouvriront à toi et qui compenseront pour les efforts que tu auras fournis. Ton corps sera peut-être usé par certaines descentes plus abruptes que d'autres, mais ton cœur aura encore envie de s'émerveiller devant toutes ces petites choses qui rendent la vie magique quand on y mord à belles dents. Lutter, c'est mettre en pénitence l'enfant qui est en soi et qui ne demande qu'à s'amuser. Il peut faire des choses sérieuses, certes, mais sans jamais se prendre au sérieux..."

La voix se tut, laissant le bruissement de l'eau compléter l'enseignement très simple donné par une toute petite branche lancée par Dieu dans un ruisseau enchanteur. "Quand le disciple est prêt, le maître apparaît", dit le proverbe. Et dire que le maître peut être une ridicule branchette sans histoire, au cœur d'une chute aux mille merveilles....! Auriez-vous envie de vous y rendre à votre tour? Oui? Fermez les yeux et laissez la musique des cascades atteindre vos sens. Visualisez maintenant cette chute et laissez-là vous parler......C'est magique, vous verrez …

 

 

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Published by Mahé - dans CONTE HISTOIRE CITATION
19 avril 2009 7 19 /04 /avril /2009 16:40

 

Je me rappelle l'époque où, avant d'être une tasse, je n'étais qu'une boule d'argile.

Un jour, mon Maître s'empara de moi puis se mit à me frapper de Ses mains,
à me modeler.  Cela me faisait mal et je Le suppliai d'arrêter mais
Il se contenta de me sourire en disant :

" PAS ENCORE ! "


J'avais si mal au coeur que je croyais que ma fin était venue.
Heureusement, Il finit par me sortir de là !
Puis Il me plaça sur un tour de potier et me fit tourner, tourner...
 

Je ne comprenais pas pourquoi Il voulait me faire passer par le feu.
Alors, je hurlai, je Le suppliai d'arrêter, de me faire sortir.
A Travers la porte vitrée, je distinguais encore Son visage,
et je Le vis me sourire et hocher la tête, en disant :

" PAS ENCORE ! "

Puis soudain, me saisissant, le Maître se mit à
me poncer et à me brosser.  Il prit un pinceau et me
badigeonna de toutes sortes de couleurs.  Les vapeurs étaient
si fortes que je cru m'évanouir.
Je L'implorer d'arrêter, mais avec le même sourire,
Il me dit à nouveau :

" PAS ENCORE ! "

C'est alors qu'il me plaça dans un autre four,
deux fois plus chaud que le premier.

Cette fois, j'allais suffoquer, j'en était sure.
En larmes, je Le suppliai, mais, une fois de plus,
Il se contenta de me sourire en disant :

" PAS ENCORE ! "

À ce moment-là, la porte s'ouvrit toute grande
et le Maître annonça :

" MAINTENANT ! "

Il me prit sans Ses mains et me déposa sur une étagère.
Ensuite, Il me tendit un miroir en me disant de me regarder.
Je n'en croyais pas mes yeux.

Je m'écriai :  " Oh, quelle magnifique tasse ! "


Alors le Maître expliqua :

" Je voudrais que tu comprennes :
Oui, quand Je te frappais et que Je te modelais,
Je savais que cela te faisait mal.
Je savais que le tour te donnait des vertiges.

Mais si Je ne m'étais pas occupé de toi, tu te serais desséchée,
et tu serais restée à tout jamais une simple boule d'argile.
Ta personnalité n'aurait pas pu s'épanouir. "

" Je savais que le premier four était brûlant, mais si Je ne t'y avais
pas mise, tu te serais effritée. "

" Je savais que tu étais incommodée par le ponçage et la peinture,
mais si Je t'avais épargnée, ta vie serait restée sans couleurs. "

" Et le second four, oh ! Je savais bien qu'il te serait presque
insupportable !  Mais vois-tu, si Je ne t'y avais pas placée,
tu n'aurais pas été capable de résister aux pressions de la vie. "

" Ta force n'aurait pas suffi, et tu n'aurais pas survécu longtemps. "

" Tu vois, alors même que tout te semblait si difficile,
Je prenais soin de toi.  Je savais ce que tu allais devenir.
Dès le premier instant, J'entrevoyais déjà le produit fini ! "

...auteur anonyme

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Published by Mahé - dans CONTE HISTOIRE CITATION
19 avril 2009 7 19 /04 /avril /2009 12:35








Sous le soleil de la conscience,
chaque pensée ou action devient sacrée.


Thich Nhat Hanh

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Published by Mahé - dans CONTE HISTOIRE CITATION
14 avril 2009 2 14 /04 /avril /2009 22:00

 

"Tant que vous n’avez pas écarté les rideaux de vos fenêtres, la lumière n’entrera pas, et de la même façon elle ne peut pas entrer dans votre tête si vous gardez en vous les « rideaux » tirés. La lumière est assez puissante pour faire mouvoir les mondes, c’est vrai ; mais écarter un rideau pour entrer chez vous, ça, elle ne peut pas : c’est à vous de le faire, en dissipant toutes les couches opaques que vous avez accumulées. Dès que vous écartez les rideaux, la lumière entre soudain dans votre chambre, c’est-à-dire dans votre tête, dans votre intellect.


Et quand tout s’est éclairci, vous comprenez comment une pensée lumineuse peut sanctifier les créatures et les objets autour de vous. Alors, tâchez de commencer ce travail : du matin au soir, efforcez-vous de vivre enfin dans cette joie extraordinaire de sanctifier tout ce que vous regardez, tout ce que vous touchez."


Omraam Mikhaël Aïvanhov



Dédicace à Trèflerèle



 





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Published by MAHE - dans CONTE HISTOIRE CITATION