"Ne pensez pas que vous pouvez inféchir le cours de l'amour,
car l'amour, s'il vous trouve digne,
dirige votre cours."
Khalil Gibran
"Ne pensez pas que vous pouvez inféchir le cours de l'amour,
car l'amour, s'il vous trouve digne,
dirige votre cours."
Khalil Gibran
La philosophie est cette tête commune,
cette région centrale du grand faisceau de la connaissance humaine,
où tous les rayons se touchent dans une lumière identique.
Renan
La racine de tout le problème....
C’est pourquoi une fausse tradition de renonciation a vu le jour dans le monde entier :
fuir la maison et aller dans un monastère ; fuir la place du marché et se rendre dans les Hymalayas.
Mais comment pourrez vous échapper à vous-mêmes ?
Là-bas vous recréerez le même monde - le même !
Ce sera peut-être un monde miniature,
il ne sera peut-être pas aussi vaste, mais vous ferez la même chose.
Vous êtes le même – comment pourriez vous faire quoi que ce soit d’autre ?
Si vous changez le mental, de profondes visions se révèlent, le monde change.
Alors, où que vous soyez, un monde différent se révèle.
Vous allez plus en profondeur et vous comprenez et vous comprenez
que si vous voulez vraiment ne plus avoir le monde autour de vous, alors il vous faudra laisser tomber le mental.
Parce qu’aussi beau que soit le monde, tôt ou tard, il deviendra ennuyeux et vous en aurez marre.
Même si c’est un paradis, vous commencerez à avoir la nostalgie de l’enfer, parce que le mental a besoin de changement.
Il ne peut pas vivre dans ce qui ne change pas. Il aspire à de nouvelles curiosités, à de nouvelles sensations.
Pour le mental, il n’est pas possible d’arrêter le temps et de rester de l’intemporel.
C’est pourquoi le mental ne peut pas vivre dans le maintenant, car maintenant ne fait
pas partie du temps – il ne change jamais, il est éternel.
Vous ne pouvez pas dire qu’il ne change pas – il n’est pas
permanent, il est éternel. Il est simplement tel qu’il est.
Là, rien ne se produit – c’est le vide.
Extrait du livre de Osho: "Le livre du rien".
Aujourd’hui
C’est le début d’un nouveau jour.
La vie m’a donné ce jour pour que je l’utilise à ma guise.
Je peux le gaspiller ou l’utiliser à profit.
Mais ce que j’en fais aujourd’hui est important.
Parce que j’échange une journée de ma vie pour aujourd’hui.
Quand demain viendra, ce jour sera parti à jamais,
laissant sa place à ce que j’y aurais échangé.
Je veux que ce soit un gain et non une perte,
le bien et non le mal, un succès et non un échec.
Et ce, pour que je ne puisse regretter
le prix que j’ai payé pour aujourd’hui.
merci à l'auteur
Si vous faites une erreur et ne la corrigez pas, alors cela s’appelle une erreur
Les Analects de Confucius |
"Assurer leur vie quotidienne, fonder une famille, goûter quelques loisirs, etc., voilà les préoccupations de la majorité des humains. De temps en temps, ils font, bien sûr, quelque chose pour la société, mais en général, c’est de leurs affaires qu’ils s’occupent, c’est pour eux qu’ils travaillent. Or, qu’ils le veuillent ou non, ils vivent dans une collectivité, et si dans cette collectivité éclatent des troubles, leurs possessions personnelles, leur vie même ne peuvent plus être en sécurité. Se concentrer sur ses intérêts, sur sa famille, sur ses possessions n’est donc pas la meilleure façon de les mettre à l’abri, car il y a toujours le risque qu’il se produise dans la société des événements qui balaieront tout sur leur passage. L’histoire en a donné des quantités d’exemples. Il faut que ce soit clair : l’individualisme n’est une solution avantageuse pour personne. La seule solution avantageuse, c’est que chacun s’efforce de faire quelque chose pour améliorer la vie collective. À cette condition, oui, chaque individu sera en sécurité." |
Omraam Mikhaël Aïvanhov |
Un homme vendait des oranges au bord d’une route. Il était analphabète, donc il ne lisait
jamais les journaux. Il plaçait sur le chemin quelques affiches, et il passait la journée à vanter la saveur de sa marchandise.
Tout le monde venait acheter, et l’homme prospéra. Avec son argent, il plaça de nouvelles
affiches et vendit davantage de fruits. L’affaire progressait rapidement quand son fils - qui était cultivé et avait fait des études dans une grande ville - vint le voir :
«Papa, ne sais-tu pas que le monde traverse des moments difficiles ? L’économie du pays va très mal !»
Inquiet, l’homme réduisit le nombre de ses affiches et se mit à revendre une marchandise de qualité plus médiocre parce qu’elle était moins chère. Les ventes chutèrent immédiatement.
«Mon fils a raison «, pensa-t-il. « Les temps
sont très difficiles.»
alors vous que faites vous ?
L'amour est le miracle d'être un jour entendu
jusque dans nos silences,
et d'entendre en retour avec la même délicatesse :
la vie à l'état pur, aussi fine que l'air
qui soutient les ailes des libellules
et se réjouit de leur danse. C. Bobin
La grandeur d'un métier est peut-être
avant tout d'unir les hommes ; il n'est qu'un luxe ,
c'est celui des relations humaines. " Saint-Exupéry
Guérissez vos relations avec l'argent. Pour vous enrichir,
vous devez penser que l'argent est un ami fidèle
et aimer ce nouveau compagnon, sans en
faire un roi mais un serviteur de votre élévation.
Pensez que c'est grâce à lui que vous pourrez être libre
dans la vie et que vous pourrez aider
un maximum de personnes !