Un saint homme tenait un jour une conversation avec Dieu ... il lui dit :- Seigneur, j'aimerais savoir comment est le paradis et comment est l'enfer
Dieu conduisit le saint homme vers deux portes.
Il ouvrit l'une d'entre elles et permit ainsi au saint homme de regarder l intérieur.
Au milieu de la pièce, il y avait une immense table ronde.
Et, au milieu de la table, il y avait une grosse marmite contenant un ragoût à l'arôme délicieux....
Le saint homme saliva d'envie.
Les personnes assises autour de la table étaient maigres et livides. Elles avaient, toutes, l'air affamé.
Elles tenaient des cuillères aux très longs manches, attachés à leurs bras.
Toutes pouvaient atteindre le plat de ragoût et remplir une cuillerée.
Mais, comme le manche de la cuillère était plus long que leurs bras, elles ne pouvaient ramener les cuillères à leur bouche.
Le saint homme frissonna à la vue de leur misère et de leurs souffrances.
Dieu lui dit:
- Tu viens de voir l'enfer.
Tous deux se dirigèrent alors vers la seconde porte.
Dieu l'ouvrit, et la scène que vit le saint homme était identique à la précédente.
Il y avait la grande table ronde, la marmite de délicieux ragoût, qui fit encore saliver le saint homme.
Les personnes autour de la table étaient également équipées de cuillères aux longs manches.
Mais, cette fois, les gens étaient bien nourris, replets, souriants et se parlaient en riant.
Le saint homme dit à Dieu:
- Je ne comprends pas !
- Eh bien, c'est simple, répondit Dieu à sa demande, c'est juste une question d'habileté. Ils ont appris à se nourrir les uns les autres, tandis que les gloutons et les égoïstes ne pensent qu'à eux-mêmes.
Il faut croire que l''enfer est bien souvent sur terre !!!"
(reçu par mail par un groupe Yahoo)
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travailler une seul jour de votre vie.
Confucius
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Au coeur d'un incendie de forêt.
Les gens cherchent donc le bonheur en ce monde, mais c'est comme s'ils cherchaient à être heureux au coeur d'un incendie de forêt. Ce genre de sinistre se déclare tout seul, sans que personne n'ait besoin d'allumer un feu; de même, personne ne veut être malheureux dans sa vie familiale ou sociale, mais les lois de la nature imposent le malheur et la souffrance à tous les êtres. Il est très dégradant d'avoir à dépendre d'une autre personne pour vivre; c'est pourquoi, selon la culture védique, chacun devrait vivre de façon autonome. Seuls les sudras en sont incapables; ils doivent servir quelqu'un pour assurer leur subsistance. Or, les sastras(Ecritures) nous disent: kalau sudra sambhavah. Dans l'âge de Kali, chacun dépend de la miséricorde d'un autre pour sa subsistance, de telle sorte que tout le monde appartient à la classe des sudras. Le douzième Chant duSrimad-Bhagavatam déclare en outre que, dans le Kali-yuga, les gouvernements prélèveront des impôts sans rendre aux citoyens des services proportionnels. En outre, la pluie viendra à manquer, et la nourriture se fera ainsi de plus en plus rare, alors que les gens seront écrasés sous le poids des impôts gouvernementaux. Ils renonceront alors à mener une existence paisible, et ils quitteront leurs foyers et leurs terres pour se rendre dans la forêt, tous leurs espoirs déçus.
Srimad Bhagavatam. (5.13.6)
invitation à lire le nouveau site PRENEZ QUELQUES MINUTES
www.prenezquelquesminutes.wordpress.com
et le blog de votre animatrice Graines de Bonheur
"Ne pas se contenter de ce qu’ils possèdent est, pour les humains, un grand facteur d’évolution, car pour faire sans cesse des acquisitions nouvelles, ils doivent mettre en œuvre différentes facultés : la curiosité, l’intelligence, la ténacité, le goût du travail… Il faut le reconnaître, c’est l’exercice de ces facultés qui est à l’origine des plus grands progrès. |
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Mais ces facultés, il ne suffit pas de les concentrer sur des acquisitions matérielles, car cela ne nous aide pas vraiment à résoudre les problèmes psychiques, moraux que nous rencontrons dans la vie quotidienne. En nous comme à l’extérieur de nous, nous sommes continuellement exposés aux attaques de forces hostiles. Alors, comment ne pas être désagrégé ? |
En nous réfugiant intérieurement dans un monde où ces forces n’ont plus prise sur nous. Aucun lieu, aucune situation, aucune gloire dans le monde ne peut nous protéger tant qu’une partie de nous reste attachée trop bas, dans la matière. C’est donc au monde spirituel aussi que nous devons appliquer notre curiosité, notre intelligence, notre ténacité et notre goût du travail."
Omraam Mickhaël Aïvanhov |
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