Les sens nous montre l'essentiel,
Notre vision du monde
Sens en éveil
Mahé
La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre.
Albert Einstein
une histoire....
par rapport à un maître qui versait le thé à son élève et qui ne
cessait de verser, faisant déborder la tasse jusqu'au moment où
l'élève demande à son maître pourquoi il continue à verser.
Le maître lui répond : eh bien ton esprit est aussi rempli que cette tasse, il
n'y a plus de place pour autre chose !
Faire le vide dans sa tête, dans son espace intérieur, dans sa maison, dans sa vie permet de laisser la place à autre chose !
si quelqu'un a l'histoire complète et l'auteur ... merci
"Le progrès est impossible sans changement,
et ceux qui ne peuvent
jamais changer d'avis
ne peuvent ni changer le monde
ni se changer eux-mêmes."
George Bernard Shaw
L'enfant t'est donné pour
que le monde enfin ait un avenir.
Martin Gray
La pensée naît par réaction, en réponse à un souvenir. La mémoire répond à un défi, à une question, à une action, ou en fonction de quelque chose -une idée, une personne- On se demande alors 'mais qu'est-ce donc que la mémoire ?'
Lorsque vous posez le pied sur un insecte et qu'il vous pique, la douleur est enregistrée et stockée dans le cerveau : c'est cela la mémoire. Cette douleur devient un souvenir qui n'est pas la douleur réelle. La douleur est passée mais le souvenir persiste, et la fois suivante, vous êtes sur vos gardes. L'expérience (ici celle de la douleur) est devenue savoir. Ce savoir est emmagasiné sous forme de souvenir, de mémoire, et cette mémoire répond sous forme de pensée. Et le savoir, quelle qu'en soit l'étendue, la profondeur, l'ampleur, est forcément limité. Il n'existe pas de savoir absolu...
C'est pourquoi tout ce qui émane de la pensée sur le plan philosophique ou religieux reste partiel, limité, fragmentaire, car le savoir est indissociable de l'ignorance. Mais si vous êtes vraiment attentif en ce moment précis, que se passe-t-il ? Il n'y a plus de 'moi' en train d'être attentif, plus de centre disant : 'je dois être attentif' (...) La vision pénétrante ne dépend pas du temps, et ne résulte ni du souvenir, ni d'une intuition, ni d'un désir ou d'un espoir. Cette vision est étrangère à toute notion de temps ou de pensée.
Jiddu Krishnamurti
La maladie commence à l'instant
où l'on justifie par l'extérieur le malaise intérieur.
Samuel Hahnemann.
un livre conseillé la maladie a t elle un sens ? de Thierry Janssens
Il y a interaction entre langage et pensée.Un langage organisé agit sur l'organisation de la pensée, et une pensée organisée agit sur l'organisation du langage.
Ahmad Amin
Dans un pays lointain
, vivait un magicien dont les pouvoirs étaient prodigieux. Il avait une maxime : « Vous recevez de la vie ce que vous lui demandez ». De fait, tout ce qu’on lui demandait se réalisait.
Il fut un jour appel
é dans un pays étranger. Dans ce royaume, les récoltes devenaient de plus en plus maigres, la qualité de vie du peuple se détériorait, et le roi lui-même était la cible du mécontentement. Le roi, se voyant mis en cause, demanda au magicien de montrer au peuple comment résoudre lui-même ses problèmes.
Cette requ
ête plut au magicien, qui déclara « Vous auriez pu me demander d’indiquer qui sont vos ennemis pour que vous puissiez les exterminer ; vous auriez pu me demander une fortune inépuisable, qui aurait permis de distribuer de la nourriture à tous vos sujets ; vous auriez pu me demander une foule d’autres choses, que je vous aurais accordées. Au lieu de cela, vous avez demandé d’instruire vos sujets pour qu’ils puissent prendre eux-mêmes en charge leur destin. Telle est votre demande, telle sera votre réalité ». Et, sur le champ, les gens de la cour et les citoyens commencèrent à travailler dans un nouvel esprit qui leur permit de produire ce qu’ils voulaient et de vivre pleinement heureux.
Sur le chemin du retour
, le magicien rencontra un mendiant. Ce dernier ne savait pas qu’il s’agissait d’un magicien aux pouvoirs merveilleux. Il tendit donc la main, en se plaignant, comme d’habitude, d’être pauvre, de n’avoir ni gîte ni travail et de n’avoir jamais eu la chance de devenir riche et puissant
.
Le magicien lui dit :
« Vous recevez de la vie ce que vous lui demandez. Que désirez vous ? » — Le mendiant eut la même réaction que d’habitude face à une personne qu’il supposait bien nantie et demanda un dollar. Il reçut exactement un dollar
.